Semaine Mondiale de l’Allaitement Maternel du 11 au 18 octobre 2015

Chaque année voit le nombre de mamans qui allaitent augmenter, alors phénomène de mode, tendance ou retour au naturel ?

Quand la question de l’allaitement se pose, c’est bien à la future maman et à elle seule d’y répondre, en fonction de son envie, de son mode de vie et de ses convictions.

Je trouve personnellement dommage de nous poser la question. Une fois encore, que nous est-il arrivé pour que ce geste au combien naturel, soit passé en désuétude…

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Le lait maternel est sans conteste ce qu’il y a de mieux pour le nourrisson ; riche en lipides, protéines et glucides, il lui fournit des anticorps naturels qui le protègent dès sa naissance de maladies et favorisent son développement.

Il n’existe que peu de contre-indications à l’allaitement et elles restent rares : prise de médicaments, maladies infectieuses, abcès du sein, intolérance aux protéines du lait, ou consommation importante d’alcool ou de tabac de la maman.

Préconisé par l’OMS jusqu’à l’âge de 6 mois, l’allaitement maternel sera bénéfique au nourrisson même s’il n’est pas pratiqué sur une longue durée.

Ce qui fut mon cas et à mon grand regret d’ailleurs. Allaiter mes 3 enfants a été de fait une évidence pour moi. C’est tellement la suite logique de la relation commencée in utéro avec son enfant, c’est un moment privilégié de douceur et de détente.

Malheureusement je n’ai pas eu la chance de faire partie de ces mamans qui ont beaucoup de lait bien nourrissant au point parfois de ne savoir qu’en faire.

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Un peu plus d’un mois seulement pour chacun de mes enfants, peu de lait, pas assez nourrissant pour mes petits gloutons et hop, obligée d’introduire le biberon, bien trop tôt à mon goût.

Tant pis, mais ce qui est sûr, c’est que je ne me suis jamais posée la question lorsque j’étais enceinte, de savoir si j’allais allaiter mes enfants ou non. Cela s’est fait tout naturellement sans hésitations, ni angoisses. C’était il y a 30 ans la première fois, maman nous avait allaités mon frère, mes sœurs et moi…

Alors est-ce la faute des générations qui ne font plus passer le message entre elles?

Du coup, aujourd’hui, vu que tout est compliqué, il n’est certainement pas facile pour une future maman hésitante de prendre sa décision. Elle doit faire le tri entre ce qu’elle sait, ce qui se dit et ce qu’elle ressent.

Entre peur de mal faire, manque de conseils et d’accompagnement, ou encore manque de temps, stress et bébé chez la nounou…

Pour toutes les mamans qui font le choix d’allaiter leur bébé, Le Monde de Léa propose, d’une part, une gamme d’articles consacrés à l’allaitement, dans laquelle vous retrouvez le coussin d’allaitement, article  incontournable s’il en est, pour le confort qu’il apporte tant à maman qu’à bébé, le soutien-gorge d’allaitement, les coussinets d’allaitement lavables, et autres crèmes et soins bio.

De plus, répondre à vos questions et proposer des conseils les mieux adaptés possibles à chaque maman, fait également partie de nos priorités.

Force est de constater qu’à l’heure où les Chinois mettent de la Mélamine dans le lait et où l’on découvre le Bisphénol A dans les biberons en polycarbonate ???

Et bien je terminerai en disant que: « rien ne vaut une bonne tétée !!! »

0 comments

  1. Jessica MAIRESSE dit:

    Bonjour, je suis tombée par hasard sur votre blog en voulant enregistrer l’image que vous avez utilisée…
    Je me permets d’émettre quelques critiques sur votre texte pour rectifier certains points (sans jugement mais simplement pour ne pas mettre en péril l’allaitement d’autres mamans qui pourraient lire votre texte)
    Les raisons de contre-indiquer un allaitement ne sont pas vraiment correctes…
    Nous avons 2 seins, un abcès d’un sein n’empêche pas d’allaiter de l’autre et un abcès n’empêche pas forcément d’allaiter tout comme beaucoup de médicaments qui peuvent être compatibles avec l’allaitement. Donc il faut préciser que ce sont certains médicaments (auquel il y a très souvent moyen de trouver une alternative ou un générique) et certaines maladies infectieuses seulement. Et attention, c’est l’intolérance au lactose qui empêche l’allaitement (le lactose est un sucre présent dans tous les laits de mammifères donc dans ce cas, la maman se tournera vers un lait végétal adapté au bébé) mais n’a rien avoir avec l’allergie à la protéine de lait.
    Le lait maternel n’est jamais trop peu nourrissant (sauf dans certains cas max 5% des femmes), c’est un grand mythe… Si bébé prend peu de poids, ce n’est pas ça la raison mais bien probablement un sous dosage de lait ingurgité mais ATTENTION ce n’est pas maman qui manque de lait! En effet, l’allaitement c’est la loi de l’offre et de la demande donc au plus bébé tète au plus maman produit de lait et le dosage de production de lait s’équilibre toujours (mais oui pour augmenter la production il est parfois nécessaire de mettre bébé au sein toutes les 2 heures pendant 3 jours..) Il faut bien sûr que bébé tète efficacement pour une bonne stimulation ce qui au début de l’allaitement est parfois périlleux (seulement 5% des femmes ne produisent pas assez lait comme les femmes enceintes qui peuvent dans 50% des cas ne plus en produire…)
    Enfin, l’introduction du biberon dans vos allaitements est la pire solution pour le sauver même partiellement (bien d’autres alternatives sont à privilégier: tasse bec, cuillère, paille…)

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